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ToggleUne chute des revenus pour les livreurs indépendants 🚚💔
Chez Uber Eats, le taux horaire brut a enregistré une baisse significative de 25,9%. Dans le même temps, Stuart a vu son taux diminuer de 17,3%, tandis que Deliveroo a connu un recul de 12,9%. Lorsque l’on prend en compte l’inflation, ces chiffres révèlent une détérioration encore plus marquée des revenus.
Les livreurs indépendants travaillent de plus en plus sans voir leurs revenus augmenter. Un rapport de l’Autorité de régulation du secteur (Arpe), publié le 4 avril, révèle que leur rémunération a considérablement chuté au cours des quatre dernières années. Ce document s’appuie sur des données concernant les plateformes Uber Eats, Deliveroo et Stuart. « Cette analyse illustre l’impact significatif de l’inflation cumulée sur le revenu réel des livreurs et met en lumière une tendance similaire pour les trois plateformes », souligne l’Arpe.
La situation est particulièrement préoccupante : le taux horaire brut d’Uber Eats a plongé de 25,9%. Pour Stuart, la diminution est de 17,3%, tandis que Deliveroo affiche une baisse de 12,9%. Ce déclin est considéré comme un signe alarmant, comme l’indique le syndicat Union-Indépendants, qui critique l’accord signé en 2023 et qui stipule que les plateformes doivent verser un revenu minimum horaire de 11,75 euros brut. L’Arpe souligne également que, en tenant compte de l’inflation, les baisses sont encore plus sévères : 34,2% chez Uber Eats, 26,6% chez Stuart et 22,7% chez Deliveroo, sans considérer le temps d’attente entre les livraisons.
« Nous sommes attentifs à leurs demandes visant à rétablir l’équilibre des revenus », a répondu Uber Eats à l’AFP, indiquant être « favorable à la mise en place d’un revenu minimal par course ainsi qu’à une garantie horokilométrique ». Selon les estimations d’Uber Eats, le revenu horaire brut moyen de ses livreurs partenaires en 2024 devrait atteindre 20,50 euros. De son côté, Deliveroo met l’accent sur le revenu moyen par prestation, qui, selon l’entreprise, « a toujours dépassé 5,50 euros entre 2021 et 2024, atteignant 5,70 euros par prestation en 2024, plaçant Deliveroo parmi les plateformes les plus favorables en termes de rémunération », a précisé l’entreprise à l’AFP.
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Samuel Étienne, le journaliste de France Télévisions, a récemment lancé sa chaîne sur Twitch, attirant rapidement près de 70 000 abonnés en quatre jours. (lemonde.fr) Il y propose une revue de presse matinale, intitulée "La Matinée Est Tienne", où il partage et commente les actualités du jour. Cette initiative vise à créer un pont générationnel en rendant l’information plus accessible et engageante pour un public plus jeune. (meta-media.fr)
Cependant, en novembre 2021, Samuel Étienne a été temporairement banni de Twitch pour avoir diffusé une image jugée inappropriée lors de sa revue de presse. La plateforme a justifié cette décision en expliquant qu’elle limite les contenus impliquant de la nudité ou de nature sexuelle, même à des fins éducatives ou artistiques. (leclaireur.fnac.com)
Malgré cet incident, Samuel Étienne continue d’utiliser Twitch pour partager sa passion pour l’actualité et la presse écrite, cherchant à rapprocher les générations et à offrir une perspective différente sur l’information.