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Quel avenir pour la formation professionnelle, 20 ans après le lancement du processus de Copenhague ?

Cet avenir de la formation professionnelle : une vérité dérangeante 20 ans après Copenhague ?

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Le processus de Copenhague : Des avancées mais des défis à relever

Le processus de Copenhague a largement contribué à l’évolution des stratégies de formation à l’échelle européenne. Néanmoins, des améliorations restent nécessaires, en particulier en matière d’inclusivité.

Initiée il y a plus de 20 ans, cette démarche a permis de structurer les politiques européennes relatives à l’enseignement et à la formation professionnels. Selon Jürgen Siebel, directeur exécutif du Cedefop, plus de 500 mesures ont été mises en œuvre dans les États membres pour favoriser la formation. Lors de la conférence intitulée « Structurer l’apprentissage et les compétences pour l’Europe », qui s’est tenue le 27 mai, il a souligné l’atteinte de l’objectif d’augmenter le nombre d’étudiants dans ces filières.

Le taux d’emploi a également franchi le seuil des 81%, se rapprochant ainsi d’un objectif fixé à 82%, bien que des écarts importants persistent entre les différents États membres. Cette situation révèle la nécessité d’une approche plus **inclusive** dans la mise en œuvre des politiques de formation.

L’apprentissage a ainsi connu un essor considérable, illustrant les progrès réalisés jusqu’à présent, tout en mettant en lumière les défis restants pour garantir que tous les individus puissent bénéficier de ces initiatives.

Les discussions autour de la route à suivre dans le cadre du processus de Copenhague laissent présager une attention accrue vers l’inclusivité, afin de s’assurer que chaque citoyen ait accès aux opportunités de formation qu’offre l’Europe.

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