La marque d’eau gazeuse Perrier fait face à une menace sérieuse : la possibilité de perdre son statut d' »eau minérale naturelle ». L’inquiétude grandit à Vergèze, dans le Gard, où l’entreprise fait vivre de nombreuses familles locales. 🌍

Dans les rues de Vergèze (Gard), l’atmosphère est tendue. Les résidents expriment leurs craintes quant à l’avenir de cette marque emblématique, qui emploie plusieurs générations de travailleurs. « L’eau reste excellente, même si elle est filtrée, » déclare une femme du coin. Une autre riveraine se préoccupe particulièrement des jeunes du secteur, soulignant : « Perrier a toujours soutenu son personnel, mais il y a eu des irrégularités, et ce n’est pas acceptable. »

Un millier d’emplois en péril

Le sort de l’usine, qui existe depuis un siècle et se consacre à la production d’eau minérale, est plus qu’incertain. Le mercredi 7 mai, le préfet du Gard a imposé un délai de deux mois à l’entreprise pour abandonner son système de microfiltration. Une décision cruciale doit être prise d’ici août 2025 concernant la poursuite ou non des forages. Les commerçants de Vergèze attendent cette annonce avec impatience, car elle pourrait grandement influencer leurs activités économiques. En tout, près de mille emplois sont directement concernés. 💼

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