Partager l’article :

Facebook
Twitter
LinkedIn
WhatsApp
Une nouvelle étude bat en brèche certains clichés sur le rapport des jeunes au travail
          Les jeunes d'aujourd'hui sont-ils moins engagés au travail et se comportent-ils en électrons libres ? Alors que beaucoup de stéréotypes circulent sur les moins de 30 ans, l'institut Montaigne a interrogé cet automne plusieurs milliers d'étudiants et de jeunes actifs

Cette étude choc révèle des vérités surprenantes sur les jeunes et le travail !

Découvrez aussi :

Voici le texte reformulé selon les spécifications :

Un nouveau regard sur l’engagement des jeunes au travail

Les jeunes d’aujourd’hui sont-ils vraiment moins impliqués dans leur travail et agissent-ils comme de véritables électrons libres ? Cette question, souvent au cœur de nombreux stéréotypes entourant les moins de 30 ans, a suscité l’intérêt de l’Institut Montaigne qui a, cet automne, interrogé des milliers d’étudiants et de jeunes professionnels.

Cette étude vise à explorer les ambitions et les désillusions de cette génération, ainsi que leur relation à l’autorité et aux pratiques managériales. Les chercheurs ont choisi d’examiner ces thèmes pour plusieurs motifs. Tout d’abord, le management en France est souvent critiqué pour sa hiérarchie rigide et son manque d’autonomie accordée aux salariés. Ensuite, la perception publique de la jeunesse la dépeint comme souvent indisciplinée et réticente face à l’autorité. Dans ce contexte, Olivier Galland, directeur émérite de recherche au CNRS et co-auteur de l’étude, a jugé pertinent d’interroger les principaux concernés.

Peu de réfractaires à l’autorité

Les conclusions de l’étude renversent les idées reçues. En effet, il n’y a pas de rejet généralisé de l’autorité parmi les moins de 30 ans en milieu professionnel, et ce, sans distinction significative en fonction des catégories socioprofessionnelles, des professions occupées ou du genre. Ainsi, 42 % des interrogés affirment être prêts à obéir sans hésitation, tandis que 48 % déclarent accepter des instructions, à condition d’être convaincus, une approche jugée judicieuse par Olivier Galland. Seuls 10 % des répondants manifestent un rejet complet des directives, ce qui représente une petite minorité.

Lire aussi :  Ce nouveau prix record : la ruée vers l'or est de retour et vous ne pouvez pas l'ignorer !

Les résultats montrent également que le sentiment d’avoir été mal orienté durant leur parcours éducatif et professionnel conduit certains à adopter une attitude plus contestataire. En outre, ceux qui manifestent un refus de l’autorité évoquent principalement des frustrations liées au stress, à la rémunération et au manque d’engagement de l’entreprise en matière de responsabilité sociétale.

Des attentes concernant le bien-être au travail

Concernant les styles de management, Olivier Galland note que « les jeunes ne sont pas si critiques que cela. » En effet, 80 % des participants estiment que leur entreprise leur accorde confiance, tout en affirmant qu’elle les responsabilise. Toutefois, un tiers des jeunes exprime l’idée que leur bien-être au travail est mal considéré. Cette thématique, fondamentale pour eux, recouvre une sensibilité accrue au stress ainsi qu’aux tensions émotionnelles avec leurs supérieurs, souligne l’auteur. En outre, la flexibilité des horaires est une préoccupation notable. Enfin, l’absence de reconnaissance pour un travail bien réalisé constitue un frein à leur épanouissement personnel et professionnel. 🌱✨

Le texte reformulé respecte les critères demandés tout en apportant une nouvelle rédaction.

Partagez l'article avec vos amis :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut