Voici votre article reformulé :

Chaque semaine, notre équipe analyse la campagne médiatique d’une marque, d’une entreprise ou d’une institution. Aujourd’hui, découvrons la campagne intitulée « La saga de Maxime », lancée par Volkswagen et orchestrée par DDB Paris.

Insight

Dans un environnement saturé où les consommateurs sont confrontés à une pléthore de choix parmi une multitude de véhicules et de motorisations, Volkswagen met en place une campagne de notoriété pour souligner ses atouts distinctifs.

Dispositif

L’agence DDB Paris bâtit le discours de la marque autour des notions de confiance, une valeur emblématique du constructeur allemand, au travers d’une nouvelle saga publicitaire : la saga de Maxime. Volkswagen retourne à ses bases en s’appuyant sur ce qui a fait le succès de ses précédentes campagnes : des comédies légères centrées sur l’humain et soutenues par des idées puissantes. Réalisée par Harold Einstein, cette saga narre l’histoire de Maxime, un personnage à la fois tendre et attachant, qui souffre d’un syndrome imaginaire appelé « décidophobie », soit une incapacité chronique à faire des choix. Depuis sa jeunesse, que ce soit pour choisir un numéro dans un spectacle de magie lors de son anniversaire, un plat à la cantine ou même un partenaire de jeu sur le terrain de football, Maxime peine à se décider. Cette angoisse est si intense qu’elle lui cause des évanouissements, le poussant à consulter un thérapeute. Les films illustrent son quotidien avec humour et finesse, jusqu’à ce que Volkswagen entre en scène. En effet, dans la concession, Maxime parvient à trancher. Pourquoi ? Parce qu’une voiture Volkswagen est un choix évident et simple. « Bien que tous les Français ne réagissent pas de façon aussi dramatique que Maxime face à un excès de choix, beaucoup se sentent perdus car il est difficile d’assurer que le choix effectué est le bon, surtout lorsqu’il s’agit de sélectionner un nouveau véhicule. À travers cette saga humoristique, Volkswagen affirme plus que jamais son rôle en tant que choix fiable et même réconfortant », explique Jean-Manuel Caparros-Crespo, le directeur de la communication de Volkswagen France. Déployée tout au long de l’année, cette nouvelle saga accompagnera les Instants Volkswagen, les journées portes ouvertes de l’entreprise. Elle représente le début d’un espace d’expression visant à enrichir le patrimoine de la marque et sa vision stratégique.

Objectifs visés

La campagne publicitaire a pour but de faire briller Volkswagen dans un contexte concurrentiel très marqué.

L’avis d’Olivier Massanella, directeur associé de DDB Paris

« Notre réflexion débute par l’observation du marché. Face à une offre pléthorique, l’idée du choix s’est avérée pertinente, car Volkswagen s’est toujours positionnée comme une marque de confiance, grâce à sa construction robuste, son design attrayant, ses technologies avancées, et sa qualité allemande. Les véhicules Volkswagen incitent à la confiance. Nous revenons sur cet axe de communication, quelque peu ébranlé par le « dieselgate ». Néanmoins, Volkswagen demeure un « refuge sécuritaire ». Ainsi, dans ce monde d’excès de choix, nous introduisons ce personnage qui n’a jamais su choisir, affligé de la « décidophobie », un syndrome fictif qui le fait s’évanouir de panique face à chaque décision, excepté chez Volkswagen. Le choix est simple, soutenu par une promesse de marque très limpide. De plus, cette stratégie vise à renforcer le « rapport qualité-prix » de la marque lors des journées portes ouvertes, des événements clés dans le monde automobile cinq fois par an. Notre mission est également d’assurer une visibilité accrue de la marque dans le paysage publicitaire. Avec ce discours direct, nous atteignons notre objectif. À la fin de chaque spot, une offre apparaît brièvement, pour environ 7 à 10 secondes. La valeur de confiance se termine par un appel à l’action, formulateur d’une offre commerciale. Ce mélange est idéal, car nous recherchons une connexion émotionnelle, plutôt qu’une énième vanter la performance des véhicules. Avec cette forte valeur émotionnelle, « La saga de Maxime » pourrait facilement devenir un film emblématique de la marque.