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ToggleLe 1er mai est un jour férié et chômé où les employeurs peuvent ouvrir leurs établissements, mais il leur est interdit de faire travailler leurs employés. Une nouvelle proposition de loi a été soumise dans le but de rendre cette réglementation plus flexible.
À Fontaine-lès-Dijon, un fleuriste a prévu d’exercer son activité le 1er mai, mais sous certaines conditions. « Je vais travailler seul et l’ensemble de l’équipe sera en repos », précise Gilles Sonnet, le fleuriste concerné. Selon le Code du travail, ce jour est consacré au repos, bien que les commerces aient la latitude d’ouvrir. En revanche, les employés ne peuvent pas être sollicités. Cela laisse aux commerçants la possibilité de choisir d’accueillir leurs clients.
Une proposition de loi à l’étude dès juin
Contrairement à ce fleuriste, une boulangerie a décidé de rester fermée le 1er mai, car son gérant considère que cela n’est pas économiquement viable. « Nous sommes déjà fermés le dimanche, donc les clients ont pris l’habitude de passer leurs commandes à l’avance », souligne Régis Renaud, responsable de la boulangerie Le Petit Mozart. Une proposition de loi visant à ajuster les règles d’ouverture ce jour-là a été formulée au Sénat. Toutefois, elle ne pourra pas entrer en vigueur avant 2025 et sera examinée à partir de juin.
Retrouvez l’intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.
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