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ArcelorMittal et la question de la nationalisation : un débat récurrent
Alors qu’ArcelorMittal annonce la suppression de 600 postes, principalement à Dunkerque, la notion de nationalisation suscite à nouveau des discussions. Ce n’est pas la première fois que ce sujet refait surface. Pour préserver leurs aciéries, deux pays européens, l’Italie et le Royaume-Uni, ont d’ailleurs pris cette décision.
Les parallèles avec le passé sont frappants. En 2012, la nationalisation avait déjà été envisagée alors que l’usine faisait face à des difficultés majeures. La fermeture des hauts-fourneaux de Gandrange et de Florange était dans toutes les discussions : les enjeux de compétitivité, la lourdeur des coûts de main-d’œuvre, sans oublier la concurrence accrue en provenance de Chine, étaient déjà préoccupants.
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Durant la campagne présidentielle de l’époque, la question de la nationalisation avait pris une place centrale, notamment entre Nicolas Sarkozy et François Hollande. Une fois élu, le président socialiste avait rencontré des désaccords au sein de son gouvernement à propos de cette idée : Arnaud Montebourg, ministre de la Réindustrialisation, était en faveur, tandis que le Premier ministre Jean-Marc Ayrault s’y opposait fermement.
Finalement, la nationalisation n’avait pas eu lieu. Le gouvernement avait cherché à persuader Lakshmi Mittal, le milliardaire indien à la tête du groupe, de maintenir les emplois menacés. Ce dernier a réagi en modernisant et en diversifiant le site, le transformant en un centre d’excellence pour la production d’aciers de nouvelle génération. Près d’un an auparavant, ArcelorMittal faisait la démonstration de son savoir-faire en tant que fournisseur de l’acier pour la torche des Jeux Olympiques de Paris 2024.
L’éventuelle nationalisation sous le feu des projecteurs
Face à l’annonce de licenciements, dont la majorité concerne le site dunkerquois, des employés et des représentants politiques relancent l’idée de la nationalisation. Les syndicats, ainsi que plusieurs élus de gauche, notamment Jean-Luc Mélenchon, soutiennent cette revendication.
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Néanmoins, Marc Ferracci, le ministre de l’Industrie, indique que cette option n’est pas envisagée, réitérant les arguments évoqués simplement treize ans plus tôt : l’État ne dispose pas des fonds nécessaires pour acquérir l’entreprise. Il souligne que s’engager dans cette voie pourrait entraîner un gouffre financier, surtout dans un contexte où les droits de douane américains sont en hausse et où l’acier chinois demeure extrêmement compétitif. En conséquence, la position du gouvernement est claire : « Non ! » Il estime préférable d’aider ArcelorMittal à s’ajuster au marché, en investissant dans la décarbonation et en abordant la question à un niveau européen.
Cependant, le climat économique actuel diffère de celui d’il y a plus d’une décennie, ce qui amène à reconsidérer la nationalisation sous d’autres angles. Si l’objectif reste de préserver les emplois, la question de la souveraineté nationale se pose également. ArcelorMittal joue un rôle crucial dans l’industrie de défense. C’est d’ailleurs en raison de cette considération que l’EDF, qui gère le parc nucléaire français, a été nationalisée récemment. Cette réflexion est aussi alimentée par des décisions semblables de la part de l’Italie et du Royaume-Uni, qui ont opté pour la nationalisation afin de protéger leurs aciéries. Tous ces éléments nourrissent un débat qui ne faiblit pas.
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